La vraie IA générative d’entreprise commence par… votre SharePoint
L’intelligence artificielle générative transforme les usages. Mais dans les entreprises, son efficacité dépend d’un facteur souvent négligé : la qualité et l’organisation de la connaissance interne. Sans socle structuré, l’IA n’a rien à apprendre — ou pire, elle hallucine. Pour exploiter tout le potentiel de l’IA générative dans un cadre sécurisé, utile et humain, trois leviers sont à activer. Une expertise que nous portons chez Seequalis, et que Virteem, partenaire technologique, confirme sur le terrain.
Levier #1 — Structurer la connaissance avant de l’augmenter
Ce que les grands modèles d’IA savent faire par défaut : compléter une phrase, rédiger un texte, proposer une synthèse générique.
Ce qu’ils ne savent pas faire seuls : comprendre le métier de vos équipes, interpréter une note de cadrage projet, ou savoir à qui s’adresse une procédure interne. Pour cela, il leur faut un socle documentaire métier exploitable — autrement dit : une mémoire d’entreprise.
C’est là que le rôle du knowledge management entre en jeu : inventorier, qualifier, simplifier et organiser la connaissance pour qu’elle devienne utilisable.
“L’IA générative, seule, n’est pas fiable. Ce qu’on connecte à elle est crucial. Le RAG permet de relier l’IA à votre base documentaire, mais encore faut-il qu’elle existe et qu’elle soit propre.”
— Kevin Solère, CTO, Virteem
Contactez nos experts pour diagnostiquer votre base de connaissances avant d’intégrer l’IA.
Levier #2 — Sécuriser les accès, contextualiser les usages
L’un des fantasmes les plus dangereux autour de l’IA est de vouloir “tout ouvrir à tous”. En réalité, la valeur de la connaissance dépend de son contexte — et de sa maîtrise.
Il est donc essentiel de mettre en place un double verrou :
- des droits d’accès strictement liés au périmètre fonctionnel de chaque collaborateur,
- une contextualisation des résultats générés par l’IA, pour qu’ils soient compréhensibles, vérifiables, et actionnables.
Cette exigence suppose non seulement une architecture technique adaptée (Habilitations, SSO, logs), mais aussi un accompagnement des usages. Et c’est précisément là que Seequalis intervient : nous aidons à construire des parcours IA qui respectent la culture de l’entreprise, ses contraintes métier et ses flux existants.
Découvrez comment Seequalis structure la donnée avant d’y brancher l’IA.
Levier #3 — Acculturer pour déployer à grande échelle
Ce n’est pas parce qu’un outil est disponible qu’il est adopté. Encore moins quand il s’agit d’IA générative.
Pour embarquer les équipes, il faut former, tester, rassurer et co-construire. Cela passe par :
- des ateliers d’acculturation orientés cas d’usage réels ;
- des prototypes testés en contexte avec retour utilisateur rapide ;
- des règles d’usage claires et intégrées dans les rituels existants ;
- une gouvernance transverse réunissant RH, IT, métier et communication.
Chez Seequalis, on structure l’IA depuis la base : les humains.
L’IA n’est pas magique. Elle est exigeante.
Ce que nous disent les projets sur lesquels nous intervenons, et ce que confirme l’expérience de Virteem, c’est qu’il ne suffit pas d’intégrer une IA pour créer de la valeur. Il faut une base de connaissance robuste, des règles d’usage maîtrisées, et une acculturation progressive.
C’est précisément ce que Seequalis active : la transformation digitale par l’humain et pour l’humain.